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«Les éclats de verre que l’on retrouve dans le travail de Laurane Gourdon-Fahrni, parmi d’autres matériaux liés à des restes architecturaux, sont des objets ayant été traversés par des flux énergétiques (air, électricité, eau).
Ils se présentent comme des témoignages de vestiges liés à des moments autobiographiques ou de balades. Ensemble, ils composent des paysages dont ces éléments définissent les différents plans.»
Diego Bustamante
Extrait du texte de l’exposition Terrains fantômes à la galerie de La Scep, novembre 2022